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L’OIF-IFDD et la ville de Douala signent un partenariat

L’Organisation Internationale de la Francophonie à travers son organe subsidiaire qui est l’Organisation de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD) qui parmi ses missions de lutte contre les changements climatiques a choisi la ville de Douala (Cameroun) comme site pilote d’expérimentation d’une plate-forme numérique d’aide à l’accès aux financements.

Selon le Dr Roger Mbassa Ndine, le Maire de ville de Douala, ce partenariat s’inscrit dans l’optique d’accompagner la ville de Douala de pouvoir de résorber les problèmes liés aux changements climatiques. La présence du Dr Roger Mbassa Ndine, Maire de Douala en participant à la COP28 porte également la voix des maires africains et les problèmes que rencontrent les villes africaines à cause des changements climatiques.

Il a aussi question du retrait des crues de côte qui constitue un autre souci majeur dont la solution réside dans la construction d’environ 250 km de drains, ainsi que le curage et l’entretien des 30 à 40 kms qui existent déjà.

Signalons que la ville de Douala comme tant d’autres africains connaissent des effets néfastes des changements climatiques avec entre autres, les innombrables des inondations dans cette localité située au bord du fleuve Wouri situé à quelques encablures de l’océan Atlantique occasion par de nombreuses pluies diluviennes qui s’y abattent, les drains bouchés et inexistants par endroits ne peuvent assurer le ruissellement des eaux.

Et pour face à tous ces problèmes dus aux changements climatiques, il faut nécessairement mobiliser les moyens financiers qui, souvent, font défaut dans nos villes faute à cause d’un manque de bonnes politiques d’assainissement.

C’est la raison de la présence de M. Roger Mbassa Dine, le maire de Douala à Dubaï pour trouver des partenaires techniques et financiers qui pourront apporter des financements afin de lutter ces effets des changements climatiques.

Finance climat : un parcours de combattant

Comme cela est constaté dans les différents pays, la difficulté de mobiliser les moyens financiers pour résorber pour lutte contre les effets des changements climatiques. A cet effet, la Secrétaire générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie l’a connu. Pour elle, les procédures sont très complexes et pourtant il existe plusieurs fonds et même de nombreuses ressources financières qui n’existent pas nécessairement dans des fonds, plusieurs financement bilatéraux.

Mais les pays surtout francophones sont bloqués du à tes pesanteurs, notamment la langue, l’expertise, l’information. « Moi-même qui suis dans ces conférences depuis une quinzaine d’années je me perds. J’imagine que pour certains de nos états et collectivités ça devient très compliqué de savoir non seulement comment y accéder, mais ce qui existe », a déclaré Louise Mushikiwabo, Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Il est à noter qu’il nécessaire de s’armer en termes de compétente sur les plans techniques, informationnel et autres, pour aller s’adresser aux mécanismes financiers afin de mobiliser les fonds nécessaires.

Wilfrid Lawilla DIANKABAKANA

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