Protection de l’environnement : le Repar appelle les Etats membres à mener des actions coordonnées
Une quarantaine de parlementaires venus du Gabon, du Cameroun, de la République démocratique du Congo, de la République centrafricaine, du Tchad et du Congo, ont participé à cet atelier sous-régional. Ils ont débattu de la gestion coordonnée des écosystèmes forestiers au sein des pays d’Afrique centrale.
Quelques thématiques ont été développées à cet effet. Elles ont porté, entre autres, sur la redynamisation des coordinations nationales du Repar ; l’harmonisation dans la gouvernance forestière ; la consolidation du plan de travail annuel du Repar et la contribution des Etats membres dans la gestion des écosystèmes forestiers.
A l’issue des travaux, les participants ont mis en place le plan stratégique de l’organisation. Un canevas qui permettra à l’organe de mener à bien ses actions annuelles. Ainsi, pour relever le défi de la gestion durable des forêts dans cet espace communautaire, le Repar a adopté treize recommandations.
Il réclame, entre autres, de capitaliser les amendements des parlementaires dans les différents plans de travail annuel ; relancer la contribution des Etats en faveur de la conservation et la gestion durable des écosystèmes d’Afrique centrale.
Il demande, par ailleurs, de peaufiner les différents plans de travail annuel en liaison avec les assistants techniques du secrétariat permanent du Repar ; élaborer des positions qui touchent les préoccupations de la sous-région au sujet du changement climatique et de la perte de la biodiversité.
Clôturant les travaux, le premier secrétaire du bureau du Sénat, Julien Epola, a exhorté les parlementaires à prendre conscience du danger qui guette la planète. Il les a invités à contribuer à la mise en œuvre du plan de convergence pour la conservation et la gestion durable des écosystèmes forestiers d’Afrique centrale.
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