La fondation Heinrich Böll, vient de publier, en collaboration avec le RIAM (Réseau d’initiatives agroécologiques au Maroc) un nouveau reportage qui traite l’agroécologie au Maroc et qui vise à susciter une réflexion élargie sur le sens normatif de l’agroécologie comme modèle agricole au Maroc, a révélé hier le site d’information Le Matin. La réalisation de ce reportage a été fait par Yousra Abourabi, Professeure et chercheuse à l’UIR. Ce reportage s’inscrit dans le cadre du programme pluriannuel de la Fondation « TransfromAfrica – Vers une transformation écologique et sociale en Afrique. « Il se propose de bien définir et de faire un point sur l’état de l’agroécologie au Maroc. Réalisé à partir d’une série d’entretiens menés auprès des agro écologistes, son objectif est de susciter une réflexion élargie sur le sens normatif de l’agroécologie comme modèle agricole, mais aussi comme mode de consommation responsable, modèle économique durable et instrument de revendication d’une identité solidaire et développementaliste », indique-t-on dans un communiqué. La fondation Heinrich Böll et en collaboration avec le RIAM ont également réalisé un film documentaire sur « Sol vivant » en marocain et en amazighe, qui se présente comme un film démonstratif qui vise la sensibilisation et la formation des producteurs paysans aux pratiques agricoles, principalement en maraîchage, à mettre en place pour avoir un sol vivant. Par ailleurs, conclut Le Matin, la fondation Heinrich Böll compte diffuser le 5 mars prochain, un live streaming sur Facebook et sur YouTube de la 14ème édition du Green Salon sous le thème : « L’importance d’adopter l’agroécologie au Maroc » en collaboration avec le RIAM, pour présenter le reportage écrit et échanger et débattre les différentes perspectives d’une agriculture plus durable au Maroc ouvertes aux représentantes d’organisations de la société civile, du ministère de l’agriculture, des coopératives et organismes privés.
Le site La Vérité revient sur la publication de reportage et titre dans sa Une :« L’importance d’adopter l’agroécologie au Maroc »
Dans le cadre de son programme pluriannuel « TransfromAfrica – Vers une transformation écologique et sociale en Afrique », la fondation Heinrich Böll en collaboration avec le RIAM (Réseau d’initiatives agroécologiques au Maroc) publie sa nouvelle publication en format reportage écrit réalisé par Mme. Yousra Abourabi, Professeure et chercheuse à l’UIR, qui traite l’agroécologie au Maroc et vise à susciter une réflexion élargie sur le sens normatif de l’agroécologie comme modèle agricole au Maroc. Ce reportage se propose de bien définir et de faire un point sur l’état de l’agroécologie au Maroc. Réalisé à partir d’une série d’entretiens menés auprès des agro écologistes, son objectif est de susciter une réflexion élargie sur le sens normatif de l’agroécologie comme modèle agricole, mais aussi comme mode de consommation responsable, modèle économique durable et instrument de revendication d’une identité solidaire et développementaliste. La fondation Heinrich Böll et en collaboration avec le RIAM ont également réalisé un film documentaire sur « Sol vivant », qui se présente comme un film démonstratif qui vise à la sensibilisation et la formation des producteurs paysans aux pratiques agricoles, principalement en maraîchage, à mettre en place pour avoir un sol vivant. Dans le même cadre, la fondation Heinrich Böll compte diffuser le 05 mars 2021, un live streaming sur Facebook et sur Youtube de la 14ème édition du Green Salon sous le thème : « L’importance d’adopter l’agroécologie au Maroc » en collaboration avec le RIAM, pour présenter le reportage écrit et échanger et débattre les différentes perspectives d’une agriculture plus durable au Maroc ouvertes aux représentant-es d’organisations de la société civile, du ministère de l’agriculture, des coopératives et organismes privés. Pour lutter contre le réchauffement climatique et participer à la durabilité des économies productives, le Maroc doit trouver un nouveau modèle d’agriculture durable et respectueux de l’environnement. L’approche agroécologique offre une telle alternative. Depuis quelques années, les modèles agricoles visant le respect de la nature et de la santé se diversifient et s’institutionnalisent, à la faveur d’une adhésion croissante par la société marocaine à ce type de pratiques. Deux principaux sous-modèles ont émergé : le premier s’inscrit dans l’approche industrielle et ambitionne, à travers une certification étatique, de passer d’un marché de niche à un marché émergent à l’international : il s’agit de l’agriculture biologique. Le second est pratiqué par des paysans et des néo-ruraux à des fins principalement vivrières et de commercialisation à petite ou moyenne échelle : il s’agit de l’agroécologie. Enfin, le site d’information souligne le programme « TransfromAfrica » a pour mission d’offrir aux acteurs et actrices de la société civile africaine l’opportunité d’échanger leurs points de vue sur les transformations liées au changement climatique au niveau social, culturel et économique. L’objectif du programme est de renforcer ce réseau africain d’acteurs et d’actrices engagé-e-s et d’élaborer des stratégies communes afin de promouvoir une transformation durable, juste et participative.
La Fondation Dassault Systèmes va transformer l’innovation et l’éducation
Des experts bénévoles de Dassault Systèmes vont partager leur maîtrise des technologies numériques pour former une nouvelle génération d’ingénieurs africains, posté hier par Alwihda Info. Dans sa vocation de soutenir la transformation de l’éducation et de la recherche grâce aux technologies 3D et des univers virtuels, la Fondation Dassault Systèmes annonce apporter son soutien à l’association à but non lucratif Digital Transformation Alliance (DTA) dans le but de créer InnoTechLab, le premier centre d’innovation dédié à l’éducation aux technologies au service de l’industrialisation au Cameroun. L’objectif du centre InnoTechLab est de contribuer à la transformation inclusive et durable de la société africaine par le biais d’une révolution industrielle, technologique et numérique. Cet objectif peut être atteint en favorisant l’accès, la compréhension et l’expérimentation des technologies numériques en 3D auprès des jeunes étudiants, du corps enseignant, des chercheurs et de leur écosystème. La Fondation Dassault Systèmes a accompagné les responsables de DTA dans la définition du projet et sa mise en œuvre. Par ailleurs, outre une aide financière, le projet bénéficie de l’accompagnement de collaborateurs de Dassault Systèmes. Les investisseurs et les innovateurs s’intéressent fortement à la santé connectée, l’urbanisme, la mobilité et l’agriculture intelligente en raison du potentiel de ces disciplines pour lancer une révolution industrielle en Afrique. Toutefois, pour que cette révolution soit possible, le continent doit pouvoir accéder aux technologies 3D et disposer d’enseignants formés à ces technologies afin de préparer les forces vives de demain dont l’Afrique aura besoin, a déclaré Alwihda Info. Par l’intermédiaire de quatre pôles, le centre d’excellence InnoTechLab concentrera ses activités sur la formation, le développement, l’incubation et l’accélération du savoir-faire et de l’ingénierie numériques en réponse aux objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies. Depuis son lancement en octobre 2020, InnoTechLab a organisé des séminaires consacrés aux outils d’apprentissage innovants à l’attention de 60 enseignants de l’Institut africain d’informatique et de l’Université protestante d’Afrique centrale (UPAC), et accueilli le Challenge de l’agriculture numérique lors de l’événement « Digital Transformation Expérience & Exhibition (DITREX)-Africa ». En 2021, InnoTechLab prévoit de lancer des programmes de formation à l’attention des étudiants, d’étendre sa capacité, ses compétences et ses partenariats avec des organisations industrielles et universitaires, ainsi que d’incuber les deux groupes lauréats du Challenge.
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